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Comment surmonter les freins à l’aisance à l’oral en anglais commercial

Publié par SEO350119 le

Comment surmonter les freins en anglais commercial à Paris, Elearning, Anglais commercial

L'aisance à l'oral en anglais commercial: Comment surmonter les freins ?

Un exemple concret : Votre entreprise cherche à développer de nouveaux marchés à l’international. Pour cela, vous devez prospecter, convaincre, entretenir des relations commerciales et vendre. Mais pour réussir dans ces tâches, il est indispensable d’être à l’aise en anglais…

… on doit donner de son meilleur, être plus qu’en forme, on doit assurer.

J’ai eu de nombreux échanges avec des professionnels qui, malgré leurs voyages d’affaires et, pour certain(e)s, même après avoir vécu dans un pays anglophone, n’ont pas réussi à atteindre une véritable aisance en anglais. 

Pourtant, il est souvent affirmé que vivre dans un pays anglophone est la seule manière d’acquérir fluidité et aisance. Alors, pourquoi cette immersion n’est-elle souvent pas suffisante pour acquérir de l’aisance et obtenir des résultats commerciaux en anglais ?

Car sauter dans le bain ne va pas aider si on déteste la sensation de l’eau…

L’anglais en tant que sensation désagréable

Comment dépasser les freins à l'aisance en anglais à Paris et en France?

« L’aisance » est une expérience vécue de l’anglais… et pour qu’une expérience soit positive, il faut des sensations positives. 

Mais d’où viennent nos « sensations » en anglais et, par extension, notre niveau d’aisance ?

Souvent, on associe le niveau d’aisance avec le niveau de connaissance linguistique. Mais nous savons que l’aisance à l’oral va bien au-delà des connaissances. D’autant plus lorsqu’il s’agit de pratiquer l’anglais commercial en lien avec des objectifs professionnels.

Alors, d’où viennent nos « sensations » associées à l’anglais ?

Réponse simple : Elles viennent de notre passé.

Réponse plus détaillée : Elles viennent de notre conditionnement.

« Habitudes » est le terme que l’on préfère utiliser à la place de « conditionnement » mais au final, il s’agit de la même chose.

Moi non plus, je n’aime pas le terme conditionnement. Cela fait penser au chien de Pavlov qui bave quand il entend la cloche… Mais on peut se réjouir que beaucoup de nos activités quotidiennes, professionnelles et personnelles, sont plus fluides grâce au fait que notre cerveau automatise de nombreuses tâches. C’est facile, car on a l’habitude ! 

Ces automatismes, ces ‘habitudes’, rendent notre quotidien plus fluide, qu’il soit personnel ou professionnel. Mais qu’en est-il de l’anglais ? 

De la même manière, nos expériences passées conditionnent notre aisance à parler cette langue, parfois en nous bloquant…

Dans mon expérience, avant d’avoir un déclic en anglais, il est essentiel de prendre conscience d’un point clé : ce n’est pas parce qu’une expérience médiocre est devenue automatique qu’elle est inévitable. Une fois que l’on comprend que les sensations désagréables associées à la prise de parole en anglais professionnel ne sont pas une fatalité, on peut commencer à les dépasser.

Il est également important de réaliser que ces sensations négatives contribuent largement à votre manque d’aisance, créant ainsi un cercle vicieux… le serpent qui se mord la queue.

 

Donc, avons-nous besoin d’une sorte de « thérapie » linguistique ?

 

Non 😊. Pour la plupart d’entre nous, il suffit de reconnaître que nous sommes frustrés… tant par le sujet de l’anglais que par sa pratique dans un cadre professionnel.

 

Comment cette prise de conscience peut-elle nous aider ?

 

Parce que la frustration limite fortement notre potentiel !

Mais pourquoi et comment ?

Nous savons que lorsque nous sommes en forme, les choses vont généralement mieux, contrairement à ce qui se passe lorsque nous ne le sommes pas. Dans un bon état d’esprit, nous sommes plus fluides et plus sociables.

Alors que se passe-t-il lorsque nous sommes dans un état de frustration ? La même chose que lorsque nous sommes dans d’autres mauvais états mentaux : Nous sommes distraits, réfléchir est plus difficile et nous sommes moins sociables.

C’est pourquoi la frustration est mauvaise pour votre aisance en anglais.

Donc qu’est-ce qu’on peut faire ?

Comprendre l’origine de notre frustration nous donne plus de liberté pour penser et agir différemment. Cela nous permet de dépasser ces freins et d’adopter une approche plus constructive face à la langue.

Améliorer sa performance commerciale en anglais. Dépasser les freins à l'aisance ena anglais

Les bonnes questions deviennent des outils puissants

Pour vous aider à identifier et comprendre les expériences qui freinent votre aisance en anglais, voici cinq questions essentielles à vous poser. Prenez le temps de réfléchir à chacune d’elles :

 

  1. Quelles étaient vos premières expériences avec l’anglais ?

Étaient-elles inspirantes ou contraignantes ?

  1. Que disaient ceux qui vous entouraient sur l’anglais, son apprentissage et sa pratique

Était-ce un message positif ou négatif ?

  1. Quel est le standard auquel vous vous tenez lorsque vous pratiquez l’anglais ?

Dans quelle mesure est-il raisonnable de se tenir à de tels standards ?

  1. Quel est le dialogue (parallèle) dans votre tête lorsque vous pratiquez l’anglais ?

D’où vient ce dialogue ?

  1. Comment vous sentez-vous lorsque vous communiquez en tant que professionnel en anglais ?

Vous sentez-vous dans une posture de professionnel ou plutôt dans une posture d’écolier ?

 

S’engager pour en tirer le maximum

Si vous avez parcouru ces questions rapidement, je vous invite à prendre quelques minutes, ou le temps de réflexion nécessaire, pour bien vous poser et voir/écouter ce qui survient.

Une fois que vous l’avez fait…

Avez-vous appris quelque chose ? Qu’est-ce que vous avez appris ?

 

Pour obtenir de nouveaux résultats

Albert Einstein a défini la folie comme : faire toujours la même chose et s’attendre à obtenir des résultats différents. En anglais, il en va de même : si vous continuez à aborder cette langue de la même manière, il est peu probable que vous surmontiez ces freins. Alors, que faire pour changer ?

Imaginez pendant un instant que vous êtes votre propre mentor… Quel conseil vous donneriez-vous sur ce sujet en vue de vos objectifs professionnels ?

 

Pourquoi le déclic commence-t-il d’abord avec les sensations d’aisance ?

Vous remarquerez que je n’ai pas abordé les éléments linguistiques tels que la grammaire, la syntaxe ou le vocabulaire, bien qu’ils soient TRÈS IMPORTANTS.

La raison en est simple : d’après mes expériences de formateur, responsable de centaines d’évaluations de compétences professionnelles en anglais, ce qui distinguait ceux qui se sentaient prêts pour les enjeux professionnels n’était pas un niveau d’anglais supérieur (TOEIC, par exemple). Ce qui les distinguait était leur attitude, une aisance supérieure et une expression orale qui semblait fluide malgré un manque de connaissances linguistiques et des erreurs.

Donc, je mets en premier lieu l’expérience d’aisance en expression en anglais, et à partir de là, on peut booster son impact avec les éléments linguistiques clés et les meilleures pratiques de communication, de vente et de négociation.

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Conclusion

 

Dans cet article, je vous ai présenté un des éléments essentiels de mon modèle de formation professionnelle en anglais. Je l’ai conçu avec l’intention d’aligner les enjeux de formation avec ceux de l’entreprise. Qu’est-ce que cela signifie ?

Jamais une entreprise n’accepterait qu’un collaborateur passe 20 à 40 heures à travailler sans s’attendre à un rendement : plus de ventes, de meilleurs KPIs clients et du SAV, ou bien des projets stratégiques qui avancent de manière fluide.

 

Ma passion pour ce sujet va sans doute m’amener à mettre le tout dans un livre, mais pour le moment, je me contente de publier sous forme d’articles. Ce format me permet également de développer mon style et mes explications grâce à vos retours, commentaires et critiques dont je suis friande 

 

Dans le prochain article, je vous expliquerai concrètement comment « pratiquer l’aisance » et ce que signifie ressentir une sensation agréable dans le cadre de la pratique de l’anglais. Vous aurez une vision claire de ce qui est possible et, peut-être, une idée de la rapidité avec laquelle cela peut être atteint. 

Spoiler alert : comprendre cette approche pourrait vous permettre de réduire le temps nécessaire pour acquérir la posture professionnelle en anglais requise pour passer à l’action

 

Si vous êtes motivé, sachez que moi aussi !

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